Je suis une folle paranoïaque, aux tendances destructives, et je me vois obligée de vivre et de composer avec .
Over
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige, Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir. Charles Baudelaire
Mardi 19 avril 2011 à 8:48
Je suis une folle paranoïaque, aux tendances destructives, et je me vois obligée de vivre et de composer avec .
Lundi 18 avril 2011 à 21:04
Après le beau temps, la pluie .
Il nous arrive parfois de réaliser que nous ne tenons plus rien en mains...
Que de vouloir, que de penser, que de faire quelque chose y changera absolument rien.
Nous ne contrôlons plus rien, et c'est là, que notre monde s'effondre et que plus rien, plus rien a de sens.
Nous perdons pieds, nous sommes désemparés, comme si nous venions d'un autre monde.